mercredi 26 novembre 2008

Seun Kuti : La Découverte (partie 2)

Donc quelques mois plus tard, Automne hivernal 2008 :

Une série d'indices m'amène à penser que je passe à côté de quelque chose...
Tout d'abord, l'album de Seun Kuti, qui me nargue à chaque fois que je vais à la Fnac. Et Dieu sait que j'y vais souvent. Dur dur, mais j'arrive à ne pas l'acheter.
Puis il y a deux semaines, apparition d'un autre album Kuti mais cette fois-ci au nom du frère aîné Femi Kuti (qui, je l'apprendrais après, n'en ai pas à son premier coup d'essai).
Enfin il y a deux jours, j'ai été voir un film The Visitor de Thomas McCarty (sept.2008). Très très bon film à voir, où est évoqué la musique de Fela Kuti. Tiens tiens tiens...

Bien sûr, mis bout à bout, tous ces indices-clins d'oeils m'ont intrigué et j'ai décidé alors de pousser mes recherches via le net pour en savoir un peu plus sur cette famille.
Et bien j'ai vraiment eu l'impression d'avoir de nouveau six-sept ans, et de découvrir le jeu des sept familles, niveau musique!
"Dans la famille Kuti je voudrais le fils benjamin Seun Kuti. Waouh! Bonne pioche, bon son.
Je voudrais le fils aîné Femi Kuti. Cool! good vibes. Pour finir je voudrais le père Fela Kuti. Yesssssss! Famiiiiiille!!! ".
De Fela, je ne connaissais que le nom. Avec ses fils, j'ai pris connaissance d'un style musical tout nouveau pour moi, vieux d'il y a quarante ans : "L'Afro-beat", mélange de musique tribale, de rythm'n'blues, et de jazz, avec des meneurs engagés.
Il a fallu absolument que j'arrive à me les procurer, et c'est chose à demi faite!! Yep yep yep!! Tout ce roman pour dire que la musique de cette famille en vaut le détour.

Ah la la. Comme d'habitude, j'en dis trop. Donc revenons à nos moutons ou plutôt à l'album du benjamin Seun Kuti :

Cet album "Many Things" est un concentré de pulsions qu'on ne peut réprimer. On ne l'écoute pas ce cd, on le vit. Et d'autant plus si on se laisse porter par l'orchestre divin d'Egypt 80, qui accompagnait déjà le père il y a quarante ans.
C'est bien après, une fois reposé, que l'on comprend que si c'est aussi pulsionnel, c'est parce que derrière chacun des titres, il y a un message, il y a une cause défendue, il y a un besoin d'exprimer des injustices, il y a des constats alarmants sur l'Afrique et plus particulièment sur le pays d'origine des Kuti, le Nigéria.
Afin que tout ne soit pas enfouit et passer sous silence. Afin que les choses changent...


à écouter sans modération...heu...enfin, presque. (lol)

Seun Kuti : La Découverte (partie1)

Printemps 2008 :

Je découvre, toute guillerette, un parterre de fleurs musicales superbe, en 1 seul cd : "Indetendances world mai/juin 08 " un collectif made by Fnac. Il ne me restait plus qu'à les cueillir et à les écouter. Waouh!
En plus, j'étais contente d'investir dans un cd qui n'était pas cher du tout, un prix limite au ras des pâquerettes (5euros), Woooh!
En plus, de plus, de tout cela, je ne me lassais pas des 14 titres style world mais chacun unique en leur genre. Aaaah, y'a pas à dire, j'adore le printemps pour tout ce qu'il apporte d'essentiel.
Et l'essence musicale qui, pendant trois mois, a rythmé le plus ma petite vie a été le titre "Many Things" de Seun Kuti & Egypt 80 : une musique-orchestre aux rythmes africains, qui envoûte, maraboute, au point de faire bouger toutes les parties de son corps jusqu'à l'épuisement total.

Mais voilà, tout à une fin (quoi?! même la p'tite maison dans la prairie????? Eéééééh oui, sorry).
Après toutes ces péripéties, j'avais fini par trop l'écouter, donc j'ai pris mes distances...
Oh vilaine * Miya *, lui qui était présent à tous les moments, tu l'as largué comme un flan ?!
Ben heu...ouais. C'était étouffant à la fin, fallait que je respire avec une autre came musicale, que j'explore d'autres contrées sonores. Bref, je n'étais pas prête à m'engager pour l'abum en entier, vous comprennez ?!!
En plus de cela, l'album coûtait 20euros pour 7 titres seulement. Or cela faisait un peu beaucoup trop pour moi. Vraiment trop de trop, avec tous les aller-retours et voyages en trains-bus-avion-tram-métro que je m'étais octroyée.
Mais bon, vous savez, tout à une suite (ah oui?! même la p'tite maison dans la prairie????! Heu...non, sorry).


To be continued...

vendredi 21 novembre 2008

Piers Faccini : Leave no Trace - Tearing Sky

Un sublime coup "au" coeur. Voilà, en quelques mots, j'ai tout dit.







...Bon, ok, c'est vrai que je ne peux pas m'en arrêter là.


La découverte de Piers Faccini fut immédiatement un coup de coeur (cf. part 1, La Découverte), mais l'écoute de ses deux albums "Leave no Trace (2004)" et "Tearing Sky (2006)" me firent littéralement de l'effet, de vrais"coups au coeur", des émotions qui ne s'expliquent pas mais se ressentent tout simplement.


Bio quickly :




Piers Faccini est un condensé d'inspirations culturelles à lui tout seul. En effet, de père italien et de mère anglaise, ce "blues men griot & folk song writter'' (PS: j'adore cette comparaison de mon invention qui lui va comme un gant!) a débarqué en France à l'âge de cinq ans.


Puis sa vie n'a été que pélerinations artistiques : il a fait une partie de ses études à Londres, en France, évoluant tantôt dans le monde de la peinture, tantôt dans un univers musical.

Dans ce dernier domaine, la reconnaissance vint tout d'abord avec son premier groupe aux sonorités similaires + lounge, "Charley Marlowe" [Piers Faccini, Francesca Beard, Lucas Suarez et Frank Byng] à la fin des années 90. A écouter : "This could be you", titre extrait de l'EP du même nom. (so cosy à mon goût, i like it). Leur aventure prend fin en 2001 et s'est ainsi que P.Faccini amorce sa carrière solo.

Sur sa route, il fait des rencontres essentielles notamment celle de ses retrouvailles avec Vincent Segal, un ami, qui l'amène à la concrétisation de son 1er album " Leave no Trace" en 2004; puis celle de JP Plunier pour son 2ème album " Tearing Sky" en 2006. Entre temps s'annoncent les tournées un peu partout dans le monde et plus accrues lorqu'on passe en première partie de Ben Harper.
Mais honnêtement si vous écoutez sa musique, vous comprendrez que cette reconnaissance est imputable à P.Faccini lui même, à 100%, du fait de son immense talent, qu'il communique à chaque fois avec une grande modestie et sincérité.
Limite si certains grands journeaux (les Inrocks, Libé...) ne le considèrent pas comme une sorte de fils spirituel de Nick Drake. Nick Drake!!!! Ce n'est pas rien. Souhaitons lui juste une existence moins dramatique et très très très longue!
Bon. Je vais arrêter de faire des phrases à rallonges, et vais aller à l'ultime et l'essentiel.



Ce que j'aime :


Je pense que c'est un tout qui m'a fait adhérée entièrement à sa musique,

  • la voix de blues men profonde et sincère du chanteur, avec cette retenue folk (je ne sais pas si vous comprendrez mais pour moi ce sont les mots justes.)

  • Cette musique, "Sa" musique empreignée d'influences musicales de tout bords. Et, je pense que c'est cela qui m'a touchée le plus. Un peu comme si quelqu'un avait trouvé une des cordes sensibles qui me correspond le mieux :
    *******************le côté folk qui permet de livrer des choses sincères, avec cette mélancolie sous-jacente ;
    *******************le côté blues rock avec des sons bruts qui vous empoignent le coeur et la tête ;
    *******************les sonorités africaines en arrière fond (telles que la chora de Ballaké cissoko, ou encore les choeurs en sourdine de Rokia Traoré) qui ressassent des choses de mon enfance, se rapprochant au mieux de mes origines.

A écouter absolument :


¤1er album : All the love in all the world _ Dream after dream _ Deep blue sea _ I can't wait another day (=sublime !).

¤2e album : At the window of world _ If I _ Fire in my head _ Come the harvest _ Sons & Daughters.

Concerts : le 22 novembre 08, à Millau (Languedoc Roussillon, France)

Liens :

Musique ¤ http://www.myspace.com/piersfaccini

Site officiel ¤ http://www.piersfaccini.com/

Piers Faccini. La Découverte




« L'Histoire de ce coup de coeur musical »


Il y a deux mois, je cocoonnais tranquillement dans mon appartement, bercée par une douce musique folk ("Fisherman's woman") ainsi que par les saveurs d'un bon thé vert à la menthe, tout en attendant l'émission musicale de Manu Katché One Shot Not sur Arte, en deuxième partie de soirée.
Aaaah! attendez je respire, elle est trop longue cette phrase. Bon tant pis, je continue.


Lorsqu'enfin arriva l'émission (ouais, cela m'arrive de faire des phrases courtes,lol).
Emission toute sympatoche au passage : des rencontres d'artistes divers dans des show-cases surprenants, un peu à la Taratata mais en plus intime, moins bling bling avec l'arsenal de l'interview crochet. En tout cas c'était ma 1ère de cette émission, et j'ai adoré puisqu'elle m'a permis de connaître Mr Piers Faccini. Aleluiaaaahh !!!! God exist!

Oui, vraiment. Ses prestations de deux titres "Talk to her", mais surtout "If I" m'ont plu d'emblée, tellement qu'à la fin de l'émission j'ai voulu connaître un peu mieux l'artiste en surfant sur son site officiel. Puis 3 jours après, je récupérais ses deux albums éparpillés dans deux des 10 médiathèques de ma ville.

La découverte n'était rien à côté de la claque musicale que je me suis prise après l'écoute en boucle de son 1er album solo « Leave no Trace » datant de 2004!! (Putain mais t'étais où * Miya * pendant tout ce temps?!!! Fixée sur quelques longueurs d'ondes mais pas les siennes apparamment ; Depuis je me suis rattrapée heureusement!). Puis je suis devenue définitivement accroc avec plusieurs titres de son 2ème album « Tearing Sky » (2006).


Si je devais le décrire (ça tombe bien parce que c'est justement ce que je vais faire), je dirais de Piers Faccini qu'il est de loin la meilleur chose qu'il ait pu m'arriver, musicalement parlant.
Que je suis raide dingue de ce blues men griot & folk songwritter, de ses compositions, de sa voix, des sonorités, mais surtout du mélange des genres musicaux qu'il arrive à agencer naturellement sans que cela créé une confusion ou bien un brouhaha sans significations... bref j'aime le tout, cette ambiance cosmopolite qui est unique.

(J'en ai peut être trop dit, acclamant trop de choses qui doivent être plus écouter plutôt que décortiquer. J'espère sincèrement que cela n'en diminuera pas moins sa qualité).


J'attends avec beaucoup beaucoup d'impatience son prochain live ailleurs qu'à l'opposé de l'endroit où je vie (Concert à Millau, Languedoc Roussillon, le 22 nov.08).
Pourquoi si loin, pourquoi une grêve des trains juste à ce moment, et de toute façon, pourquoi je travaille ce samedi là, bouhouhou !
Snif!


A découvrir...



PIERS FACCINI sur Arte 27/09/08

mercredi 19 novembre 2008

Likke li : Youth novels






Comme je le disais dans ¤ La Découverte¤, c'est vraiment un album anti spleen notamment ces titres que j'affectionne+ + +:
Dance dance dance (cf, ci-dessus le clip-concert à emporter de la Blogothèque), et aussi...


Let it fall,


Breaking it up,


I'm good, i'm gone,

Bio. quickly:


Lykke Li (Timotej Zachrisson de son vrai nom) est une jeune nymphette de 22 ans, issue d'un pays scandinave (Suède, Stockholm) mais qui a du soleil dans la voix et apparemment beaucoup dans les pieds puisqu'elle a débuté par la danse.

Ces derniers étaient tellement remuants qu'ils l'ont amenés à quitter très tôt son nid et à tenter l'aventure à New York-New York!! Et de la danse vint le chant! (Quel lyrisme miya!!! Yeah, je sais, lol!)

Toutefois, elle y a très vite perdu des plumes, et de rêves en illusions perdues, elle retourna dans son pays d'origine...

Puis elle fit son bonhomme de chemin, en concotant des p'tits morceaux de musique dotée d'une recette qui lui est bien spécifique: l'originalité!!

Et voilà, cela a fini par payer.

Enfin, c'est le fait qu'elle a sa propre recette en matière de musique qui fait qu'on la compare un peu beaucoup à "Björk", "Feist" ou encore "Cat Power".


Ce que j'aime:

  • Un univers unique déversant des notes accoustiques variées, une voie fluette de fée, un tout qui donne envie de sautiller comme une gamine.

  • L'ambiance tantôt pop smile plein de vie et de gaieté, tantôt folk aérien et evanescent.

  • Les paroles sont toutes simples, pleines de sincérité voire de naïveté.

  • 2 prestations: Lykke li & El Perro del mar ; Lykke li & Bon Iver

  • Son look, sa grace ( je sais, rien à voir avec la musique, mais bon voilà j'suis qu'une nana).



Prochains concerts :

le 09 décembre 08, à Paris 19e (le Trabendo)


Liens :

Musique ¤ http://www.myspace.com/lykkeli

Site officiel ¤ htpp://www.lykkeli.com

mardi 18 novembre 2008

Lykke li : La Découverte




Le pourquoi du comment de cette découverte là ???

Il y a environ 2 mois je crois, « on the tv », lors du passage d’une pub (Suez Environnement : super jolies images, au passage !), avec le titre super vivifiant :
« Dance dance dance ».

Il y a quelques semaines, en passant encore et toujours à la Fnac, je n’étais emballée que par ce titre sur l'ensemble de l'album de Miss Lykke li : "Youth Novel" . Alors je me suis dis, « bouai bouai bouai, on verra plus tard ! »

Mais il y a quelques jours, en passant par la Blogothèque, j’ai adoré " le concert à emporter" avec El Perro del Mar : un clip plein de soleil avec une musique entraînante qui pétille de vie, un groupe insolite en pleine rue, l’utilisation d’instruments qui n’en sont pas mais qui égayent quand même !!!

Wawawaouh !
Cela m’a donné envie de sourire comme une banane et de danser comme un singe !!!

Et c’est ce que j’ai fait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Epilogue : Petit tour rapide chez mon meilleur pote sound (Deezer), et là, il fallait que j’obtienne cet album anti-spleen.

Yessssssssssssssssssssssssss ! I’ve got it!!


John & Jehn : L’album. Wouaaaaaaaouh !!!!



Scotchée d’emblée…!


  • Par 3 titres : ¤ Fear Fear Fear ¤ Love Me ¤ 20 L 07 . J’écoute ce dernier en boucle, et trouve le clip sublime alors qu’il n’y a fondamentalement rien d’extraordinaire !! Ca ne s’explique pas ; j’aime leur dégaine, le jeux des paroles, la réalisation (lieu : chambre d’un motel, rapport devant/ derrière/ensemble, point net/ image floue, la lumière contraste noir/blanc…), le tout quoi !!!






  • Par les voix des deux chanteurs : voie âpre, traînante, envoûtante et désabusé de John ; pareil pour Jehn avec ce côté un peu plus uppercut ou à l’inverse border-line à la PJ Harvey (cf. l’album White chalk) sur le titre « 20 L 07 ».









  • Par l’univers musical rock sombre so British : A la 1ère écoute, je croyais vraiment avoir affaire à un groupe rock britannique. Après une recherche sur le net, je découvre que ce groupe se résume à 2 personnes : Camille Berthomier à la guitare, et Nicolas Congé à la basse et aux claviers. Deux frenchis exilés à Londres maîtrisant parfaitement la langue de Shakespeare. Ok, ok, j’hyperbolise à fond, mais même si mon anglais est so shit je n’entends pas la moindre anicroche niveau anglais ! Ce 1er album fait suite à un Ep d’il y a presque 1 an, et ces deux là ont déjà fait la première partie de « The Kills ». Ce que j’aime : Le son rock, tantôt blues-rock, tantôt postpunk, avec leur univers à la Joy Division, les inspirations Velvet Underground, les phrasés rythmiques entêtants, à chaque début de leurs morceaux.

  • Par leur allure nonchalante à la Bonnie & Clyde. Beaucoup de jeux de lumière en noir et blanc sur les books photos. C’est ce qui a fait penché la balance pour le déballage de l’album (cf John & Jehn, le pourquoi du comment) L’esthétique de l’album est superbe.

Les + et les - :

Les - de l'album: Mais où est donc le livret lyrics + photos ????

Les + de l'album: Les 10 titres magiques, le 2 en 1 du cd (cd John/ cd Jehn). Originalité, Esthétique, Good vibes.







Concerts à venir:

- 4 décembre 08 aux Transmusicales de Rennes

- 8 décembre 08 au Casino, Paris


Liens :

Photos ¤ htpp://www.facultymusicmedia.com/

Musique ¤ http://www.myspace.com/johnjehn

Blog ¤ http://makeyourmumbeproud.blogspot.com/


Mais trêves de blablaterie, je vous laisse découvrir...





John & Jehn : La Découverte.



L'histoire que je vais vous conter (la mienne, pas la leur) commence il y a 3 semaines, par une journée bof bof avec un temps pourri à la clé, où je me suis dis qu'un p'tit tour à la fnac serait parfait pour me changer les idées ...

Ni une ni deux j'me lance, prends mon bric à brac qui me sert de fourre tout et me retrouve 15min après à déambuler pendant près 1h30 entre les livres et les cds de mon grand magasin adoré.

Quand soudain…je me retrouve confronté à un choix terrrrrrible !
Ta ta dam !!
Choisir entre l’amour de mon banquier ou l’Amour de la Musique!
Aie ?!

Ben ouais, le hic c’est qu’il a fallu que je tombe amoureuse…de deux cds…
(Ca c'est mon truc, tomber amoureuse… de livres, de musiques, de structures, de villes, de tout plein de choses animées mais pas vivantes, enfin bon cela est une autre histoire).

…Deux cds, que je n'arrivais plus à lâcher et qui finalement passeront à la caisse : Barbara Carlotti "L'idéal" = chanson française à textes, univers lyrique et décalé, mais j'y reviendrais ; et " John & Jehn " (album du même nom) = rock indépendant aux inflluences Velvet Underground, Suicide...

Ce sont de ces derniers dont je vais parler car leur album est une vrai une perle.

Bon encore 2min de blabla et après c’est juré j’en viens au fait !!
Suite - suite – suite- de mes tribulations….
Donc j’en étais à : « Ouaaaaaaaaaaaais, on s’en fout du banquier ! L’Amour de la Musique est nettement plus primordiale que les considérations d’argent. « On » – en tout cas, moi« Je » ne peux pas vivre sans musique. C’est une question de survie, de culture, de bien-être et d’harmonie !! » (PS : à noter les majuscules pour montrer l’importance que je porte à l’Amour+ la Musique).

Mais arrivée à l'appart, la folie de l'amour était retombée comme un soufflet. En même temps, j'avais eu tout le trajet du retour pour me dire qu' "aie aie aie, + de 30euros dépensés en quelques secondes pour 2 cds, c’est tout ?! , c'est vraiment pas bien! Aaaaah, ça non alors !!"
En fait c’était surtout l’addition des cumuls de la semaine - tous les petits riens et petits hauts que j'avais adoptés - qui m’a un peu beaucoup refroidie ; Oups, oups, oups!!!


Alors j'ai trouvé un pseudo-compromis : je n'ai pas déballé les cd pendant 3 j, mais me suis jetée sur deezer afin de pouvoir les écouter en boucle et savoir si vraiment c'était de l'amour ou juste une passade (donc les renvoyer à la Fnac, loin de moi, à jamais ! Ouais, je sais c’est triste).

Et c’est là que notre histoire à commencer… i’m in love, c’était sûr!

To be continued... (cf. part.2 : John & Jehn, l'album, waaaaouh !)